Ecundemi/Amsel

TOI
Prénom
Flore. C'est pas trop courant, j'aime bien.
Surnom
Heu... « Mon escargot » de la part de ma moitié, « Mon Lapin » de la part d'une amie, l'escargot de la part de quelque vielles copines, « Ma lutine » de la part d'une personne... Sinon, j'ai pas beaucoup de surnom en général, c'est plutôt moi qui en donne.
Âge
21 ans.
Physique
Faisons bref (ça me changera) : De taille et de corpulence moyenne, je suis plutôt banale : ni vraiment jolie, ni vraiment moche. J'ai un visage ovale, encadré par une chevelure châtain clair, des yeux... Vert ou bleu, voir gris (ça dépend de la lumière), avec l'iris cerclé de marron (facile à décrire en quelque mots), des lunettes sur le nez (que je n'aime pas... les lunettes, pas le nez, hein). Des bras longs, des mains fines avec une spécialisation pour me couper avec tout et n'importe quoi (feuilles, plumes de dessins, frigo...). Après, baaaah... Normale, taille fine, hanche plus importante et tout le tralala...
Sinon, les vêtements, c'est très varié, ça peut aller du pantalon avec la chemise toute conne, à la jupe et collant flashy (z'avez pas idée...). Le tout reste souvent dans des couleurs assez ternes (sauf les collants).
Après, peu de bijoux : une montre, et de temps en temps des boucles d'oreilles. Et pis voilà.
Psycho
Houlà... Bon, en essayant d'être objective : en premier lieux, il y a les gens avec lesquels je me sens à l'aise et d'autre non (ou pire, les groupes). Quand je suis à l'aise, je suis plutôt enthousiaste, positive et j'aime bien faire rire mon entourage. Pour ça, je dispose d'un sens de l'humour un brin pitoyable mais qui s'avère être de temps en temps efficaces. Je joue énormément sur le second degré quand je parle, et j'aime bien me montre (gentiment) vache avec les gens que j'apprécie... les faire « tourner en bourrique », ce genre de chose (particulièrement efficace avec certaine personne). Et il m'arrive d'être un tantinet naïve et crédule, mais je compense ça par quelques brides de paranoïa (noooon, ça peut pas être vrai... Si ? Noooon. si ?)
En groupe, je pourrais être beaucoup plus réservée, m'effacer totalement et juste faire acte de présence, mais sans plus.
Sinon, j'ai parfois du mal à me motiver de faire certains choses (devoirs, vaisselles...) mais je finis toujours par les faire.
Centres d’intérêt
Alors, en priorité, je dirais le Dessin, après les jeux de rôle (forum ou table, bien que je ne puisse plus autant pratiquer ce dernier qu'avant), la lecture, les jeux vidéos, la musique, les dessins-animés, les Bds, l'illustration... Rien que les trucs où on reste bien gentiment cloitré chez soit en somme (encore qu'il faut bien sortir pour aller acheter les bds...), hu hu hu
Phrase fétiche
Quand je suis étonnée, c'est « Honk ? », Quand je suis abasourdie, c'est « Foutre dieu !!! », quand je veux jurer c'est « Tain, c**, c****, p*** »(restons polie) et quand je raconte (oralement) c'est « etc, etc ». Sinon, ça dépend des périodes.
Pourquoi es-tu ici? (pour devenir maître, pour devenir disciple, simplement pour t'amuser?)
Parce que je trouve que le principe même du forum est une bonne idée.
Ensuite, pour ce qui est du rang... Huuummm... Je dirais bien « maître », mais si pour un oui ou pour un non je ne pouvais pas (à cause de mon français par exemple, ha ha ha^^'), je serais ravie de progresser en votre présence en tant qu'apprentie ! En bref, j'excepterai bien la place où l'on me mettra. ^^
Autres
Youpi, tralala !

(désolée pour les deux messages... s'il y a un soucis, je changerais.)

PERSON (comme Mac, je reprends mon personnage venant du même forum)
Nom
Mitternachtslöwe
Prénom
Amsel
Origine
Les schwefel... Pardon, je voulais dire : on n'en sait trop rien...
Âge
Pfout ! Beaucoup ! Mais en le regardant, on dirait entre 25 et 30 ans...
Orientation sexuelle
Aucune ! Difficile à envisager, mais Amsel ne regarde jamais quelqu'un comme un possible partenaire amoureux. Que ce soit sexuellement parlant ou sentimentalement parlant, il semble ne pas du tout s'intéresser à cette partie là de la conditions humaine. Et si ça le concerne et bien... il ne s'en rendra absolument pas compte (pauvre Mac).
Emploi ou occupation
SEF : Sans Emplois Fixe. Soit il se barre car ça ne l'intéresse pas, soit il se fait virer avant.
Description physique en quelques lignes
(toujours comme Mac, je remets aussi un descriptif d'une histoire que j'ai écrite... )

« Intérieurement, Annette repensa à l'étrange bonhomme de toute à l'heure... à vrai dire, il ne semblait pas vraiment méchant... Au contraire. Il avait un visage innocent, un sourire enfantin formé par des lèvres fines, un nez droit et fin, ni trop pointu, ni trop rond et de jolis yeux expressifs, gris sombres, surlignés par des sourcils fins et bien dessinés. Pas de barbe, il semblait plutôt dépourvu à ce niveau là. Et tant mieux pensa-t-elle en un rire... Qu'est-ce que pouvait donner une barbe à quelqu'un qui avait les cheveux auburn comme ça ? Presque tirant sur le rouge ? Couleur naturelle avait-elle eut le temps de remarquer. Oui, son visage était entouré d'une chevelure fine et souple, de couleur auburn éclatant qui lui arrivait aux épaules, attachés à l'aide d'une pince pour les relever un peu, bien que de nombreuses mèches s'écharpaient pour lui retomber sur la figure, donnant finalement un air peu entretenu au jeune homme. Il avait également des traits fins dessinés par une peau clair et fine qui longeait avec douceur les arrêtes de sa mâchoire, sans pour autant avoir la peau sur les os, ses pommettes étaient légèrement saillantes et son menton était plutôt fin... Un petit débuts de pattes d'oie sur le côté de ces yeux et une naissance de ride d'expression à la commissures de ses lèvres montraient que ce n'était pas un gamin tout juste sorti de l'adolescence ce qui contrastait sérieusement avec l'air dans la lune (jolie façon de dire « à côté de la plaque » pensait la jeune femme) qu'il abordait continuellement.

Oui, un visage vraiment intéressant pensa Annette tandis qu'elle saisissait un verre. Pas la tête d'un satyre en fait.

Juste d'un gars sortit de l'asile, conclut-elle quand elle entrechoqua les glaçons avec le fond du verre. Un gentil cinglé, tout au plus, admit-elle.

Elle tenta de se souvenir un peu plus du reste du physique du jeune homme, tout en se versant un fond de verre, et il lui revint qu'il ne semblait pas très grand. Peut-être dans le mètre soixante-quinze estima-t-elle. Une moyenne tout à fait honorable, tout comme sa corpulence qui semblait être dans la norme, voir, dans « la moyenne catégorie légère ». Ses épaules ne lui avaient pas semblé taillées à l'aide de la gonflette, un peu carrées certes, mais fines et légèrement recourbées en avant. Des épaules de jeune homme qui ne s'entretenait pas. Enfin, pas tellement que ça : il avait tout de même une silhouette finement dessinée et ne semblait pas trop porté sur la cohabitation avec la graisse. Il était même loin de bonhomme avec les abdos sculptés à la bière comme Annette avait parfois tendance à en fréquenter à cause de son travail. Non, il était plutôt bien fait, quelque part. Il en allait de même avec ses bras ; fins et long dans l'ensemble, mais certains muscles semblaient décidés à prouver leurs existences. Les mains qui prolongeaient ces bras étaient fines et bien entretenues, mais le sens de l'observation de la jeune femme lui avait fait remarquer qu'il semblait y avoir du vécu qui transparaissait le long de ses paumes et ce, jusqu'au bout de ses doigts fins. Les jambes de ce bonhomme semblaient logées à la même enseigne... Fine, mais plutôt bien sculptée. Enfin, ça, c'était plutôt des déductions. Habillé d'une chemise blanche déboutonnée vers le haut, les manches retroussées jusqu'aux coudes , d'une cravate rouge défaite qui pendait autour de son cou, d'un pantalons noir juste assez large pour ne pas lui mouler les jambes, c'était tout ce que s'était permise d'imaginer la jeune femme.

En bref, Annette en venait à la conclusion que sans pour autant suinter la phéromone à plein nez, ce bonhomme avait le physique d'un jeune homme de 20 ou 30 ans, plutôt harmonieux dans l'ensemble, et sans doute pourrait-ce plaire à certaines jeunes filles (ou certains jeunes hommes.). Mais pas à elle, non, ce n'était pas son genre. Il y avait quelque chose, dans ses gestes, sa façon d'agir ou même dans son comportement qui était trop gamin, un rien puéril qui faisait qu'à la place d'avoir un jeune homme, on trouvait une espèce de gamin qui avait grandit trop vite. Ou alors qui ne voulait pas grandir. »
Description psychologique en quelques lignes
(contrairement à Mac, je n'ai pas encore eut l'idée de le placer dans l'historette... Alors, j'vais y aller comme ça)
Amsel est l'incarnation même du gamin qui a refusé de grandir. Du moins, c'est ce qu'il semblerait quand on l'observe, et quoi de plus normal ? Ce dernier passe son temps à tenter de s'amuser, et ça peut aller du simple jeu avec une balle rebondissante à la provocation pure et dure de gus qui pourraient pourtant avoir envie de répondre. On pourrait aussi parler de lui comme étant quelqu'un d'irresponsable, d'irréfléchi et d'impulsif tant il agit à l'instinct (ou autrement appelé : « agir sur un coup de tête »). Et le pire sans doute, sera qu'il niera toujours farouchement tout ça, étant muni d'une mauvaise foi sur-développée, mais ses excuses ne tiennent souvent pas la route (par jeu ?)... Mais ça ne l'empêchera pas pour autant de démentir et parfois, tenter d'avoir le dernier mots.
Amsel est aussi maladroit, doublé d'une tête en l'air à la mémoire de poisson rouge, il ne semble être capable de porter son attention sur beaucoup de chose en même temps, ce qu'il fait que quand il rêvasse, la terre pourrait trembler autour de lui, il est possible qu'il ne s'en rende compte qu'en sortant de sa torpeur. De même, il ne fera attention qu'à ce qui lui semblera important, ainsi pourra-t-il ignorer une question si celle-ci ne lui plaît pas. Et si on vient à lui faire quelque chose qu'il n'aime, il pourra se mettre à bouder comme un gamins jusqu'à ce qu'on détourne son attention, après quoi, il retrouvera sa bonne humeur coutumière.
On pourrait en venir à la conclusion qu'il est légèrement égoïste, mais il s'assume bien, il est bien dans sa peau et les critiques qu'on pourrait lui faire la dessus se solderons souvent par un léger rire (s'il ne réfute pas, évidement).
Sinon, Amsel peut aussi être quelqu'un de très agréable, quand on sait y faire. Toujours calme, plutôt joyeux et naturellement enthousiaste, il pourra se montrer gentil et plutôt serviable, ça dépendra des jours en fait... Des fois, il lui faudra toujours bouger dans tout les sens, d'autre fois, il éprouvera un grand plaisir à simplement s'assoir quelque part et à observer les passants.
Pour certaines occasions, il pourra également lui arriver de retrouver un sérieux ainsi qu'un sang froid aussi peu commun que soudain, ce qui pourrait en déstabiliser plus d'un sans doute...
Histoire en quelques lignes
Il y avait quelque chose. Une sorte de bourdonnement incessant parvenait continuellement aux oreilles de l'homme qui était accoudé au bar du très célèbre « La Planète d'autant », bar chic immensément connu dans Glyphe pour le flot de célébrité que chaque jours il brassait. Le regard perdu dans le vide, fixé plus loin encore que sur les vitrines, rien ne semblait pouvoir perturber Amsel Mitternachtslöwe, employé depuis une semaine ici.

Et encore moins M. Fildeza, petite bonhomme de la quarantaine à la fine moustache et au visage en forme de poire, connu également comme le patron du célèbre bar. Et pourtant, il y mettait de la volonté : gesticulant, criant, sautant et montrant du doigt, beaucoup remarquait son visage rouge déformé par la colère (beaucoup, sauf l'intéressé). Ses pensées allèrent à une chaise, mais aussitôt, il se fit violence pour se retenir. Non, pas le jour, pas devant des clients et encore moins dans son bar adoré qui retrouverait sa belle moquette rouge tachée du sang de cet opportun. Non, pas question. Par contre, le soir, dans la rue ? Ça ferait une histoire bien sordide ici, un serveur assassiné le tueur court toujours, ça attirait peut-être les gens ?

Ou ça les éloignerait... Monsieur Fildeza s'arracha quelque cheveux (pourtant déjà rare) d'exaspération puis une voix douce et claire se fit entendre à côté de lui.

« Allons, patron, vous les avez payé cher ces implants... »

Le drôle d'oiseau s'était retourné et ses yeux sombres maintenant, scrutaient son patron, sa tête toujours nonchalamment posé sur sa main. Son visage abordait un petit sourire enfantin et parfaitement innocent. Mais cette fois, ce fut de trop, M Fildeza explosa :

« Mittnach... Minater... Mittar... Amsel ! S'en est assez ! Tu bosses ou tu dégages !
- Alors je vais partir, j'ai quelque chose à faire maintenant. »

La réponse spontané de son employé figea totalement le patron. D'habitude, les gens lui disaient « pardon patron » ou « oui patron »... Que quelqu'un déroge à cette règle sacrée le perturbait totalement. C'est ainsi que les yeux ébahie, la bouche ouverte, il observa le bonhomme lui adresser un au revoir de la main, déposer sa sacoche à monnaies sur le comptoir, détacher son tablier qu'il posa sur une chaise et faire le tout du bar pour se diriger vers la porte.

« Mitts... Ah mais merde à la fin ! Si tu passes cette porte, tu ne pourras plus jamais venir ici !! Sauf en tant que client, évidement. »

Amsel, la main posée sur le poignée de fer forgée resta un moment immobile et se tourna. Il put voir le petit sourire satisfait de son futur ex-patron. M Fildeza n'aimait pas la désobéissance et l'insubordination, et bien, soit, il allait être servit.

« Désolé, « patron », mais j'ai quelque obligations bien plus importantes que vous. Je m'en voudrais si je ne les accomplissais pas. »

Un dernier sourire et Amsel s'en alla tandis que de son côté, le petit homme fulminait. Il attrapa sa feuille de registre et barra frénétiquement le nom du déserteur, jusqu'à en faire un trou dans la feuille, tout en grinçant des dents et sautillant sur place. Il souhaitait que ce nom n'ait jamais existé, il souhaitait ne jamais le revoir et il maudissait l'homme qui fut un jour son employé.


« Et un autre de perdu... » soupira Amsel.

Assit au pied d'une fontaine, une pipe à bulle rouge vif dans la bouche, il baissa les yeux et du bout du doigts, dessina un rond sur le pavé le plus proche, l'air malheureux. Ce n'était pas de sa faute s'il devait s'absenter comme ça ! Mais en même temps, que pouvait-il bien expliquer, hein ? Aucune explication tordue ne justifierait ça... Il poussa de nouveau un long soupire audible qui fit s'échapper un nombre important de bulles colorées et recala sa tête sur ses mains, coudes appuyés contre ses genoux. Il releva la tête et se mit à observer la foule qui passait.

C'était une petite place tranquille et sans histoire, entourée de vieux bâtiments gris avec quelque plantes qui grimpaient ici et là et donnait une ambiance calme et paisible au Vieux Quartier. Quelques boutiques d'alimentation parsemaient le rez de chaussé des vieux immeubles de pierres grises, mais rien de bien amusant. Ah si : une jolie fontaine en pierre aussi montrait une p'tit tritons crachant perpétuellement sur Neptune avec un air de défit. Ça, c'était amusant. Amsel aurait bien aimé que Mac soit là, mais lui aussi avait à faire. Dommage. En plus, aujourd'hui, ce ne serait pas une histoire très amusante pensa-t-il avec ennui.

Il souffla encore dans sa pipe, doucement, pour faire s'écharper une plus grosse bulle et ce fut à travers cette dernière qu'il vit alors une jeune femme blonde, à l'allure assurée et au visage fier.

« Nous y voilà... » finit Amsel avec un sourire.
Centres d’intérêt et choses aimées
Les bubulles, les bubulles, les bubulles ! Pardon, je voulais dire, tout ce qui est un peu gamin à de grandes chances de lui plaire. Ensuite, en vrac, on pourrait ajouter : observer, les hauteurs, Mac, les trucs sucrés, s'amuser...
Choses détestées
La cigarette, la solitude, le trop de sérieux...
Autres
On pourra signaler que c'est l'un des derniers grand magiciens de glyphe, qu'il est toujours en train de faire des bulles de savons, qui lui arrive parfois de disparaître sans laisser de traces pour réapparaitre comme si de rien était et qu'il a un mal fou à se réveiller (et qu'il lui arrive alors de s'endormir debout parfois)...

*comment elle fait pour se couper avec un frigo?*

Je te souhaite la bienvenue! =) Ne t'inquiète pas, je n'ai aucun problème avec le fait que tu aies écrit deux messages... Par contre je trouve que ton histoire est très peu représentative du passé de ton personnage... Je ne te demanderai pas d'en changer, parce que ce n'est pas pour l'instant ce sur quoi je veux mettre le plus d'importance, c'était seulement un commentaire critique personnel. ^_^
Bref bienvenue, et aussi, sois confiante! =) Tu as du potentiel, et j'ai l'impression que tu en doutes. =)

On en est donc déjà à ton évaluation!

Donc voilà le contexte dans lequel tu devras me composer un RP de départ : ton personnage sera dans un bar ou un café, un endroit où, bref, il peut rêvasser en paix, assis devant un comptoir avec une bonne bière... ou un chocolat chaud, s'il le préfère. Tu peux modifier un peu cette idée, la faire plus agir, l'important est qu'il reste dans ce bar ou ce café. Tout le reste est à ton choix!
J'écrirai ensuite un RP avec mon propre personnage et tu devras y répondre avant que je complète ta fiche d'évaluation.

Bonne rédaction! =)

Une petite bulle virevolta dans le ciel bleu tandis que le soleil timide frappait de ses rayons les pierres grises de la vielle ville. Après un hiver rude où il n'avait pas fait bon de sortir de chez soit pour d'autre motifs que le travail, la nouvelle hausse des températures faisait de l'effet aux habitants de cette ville et tous, désormais, profitaient de la température douce et du soleil clair, avec un petit sourire satisfait au coin des lèvres. Quelques plaintes quant au vent frais qui balayait la ville, s'engouffrait entre les rues et soufflait sur les terrasses des cafés, résonnaient ici et là, mais c'était souvent plus pour la forme que par réelle conviction, le retour du chaud était un événement bien trop heureux pour qu'on s'en plaigne.

« Et, mer** ! »

Enfin presque.

Le Cass'dal était l'un de ces nombreux petits cafés qui jonchaient les rues remplies et pittoresques de la vielle ville. Café tout ce qu'il y avait de plus ordinaire, il possédait une grande baie vitrée qui montrait l'agitation qui régnait à l'intérieur, les quelques tables rondes entourées de chaises en bois qui formaient le mobilier et surtout la fierté de l'établissement : le bar ouvragé avec son véritable petit coin cocktail où se multipliaient les bouteilles colorées. Après, la terrasse était classique : quelques tables rondes en fer étaient posées en équilibre précaire sur les pavés ronds de la rue, des chaises bancales -et pas confortable pour deux sous- les accompagnaient et le tout était positionné stratégiquement jusqu'au milieu de la rue piétonne, histoire de gêner au mieux la circulation. Car le temps que les gens passent, ils auraient bien le temps d'avoir une petite soif et donc s'arrêter consommer...

Un nouveau vent souffla sur le petit bar et tandis qu'une jeune femme se recroquevillait un peu dans le creux de bras de son ami, un bonhomme plus singulier plaquait ses mains sur le journal qui menaçait de s'envoler, en lançant en l'air un nouveau juron. Quand la brise s'arrêta, l'homme resta encore un moment immobile, puis finalement reprit une page de journal et la replaça devant son visage, s'empêchant ainsi de voir la serveuse arriver d'un pas timide vers lui. Le plateau à la main, l'air concentré sur ses pieds, ses talon hauts et ces pavés qui n'étaient pas compatible avec les deux éléments précédemment cité, elle avança doucement, veillant à ce que le verre qui contenait un chocolat frappé ne renverse pas la moindre goutte à côté. Arrivée à côté de l'homme au journal, d'un ton professionnel, elle clama :

« Votre commande, monsieur... »

Ce à quoi, il consentit à baisser son journal et regarder la jeune femme, une pipe à bulle rouge vif à la bouche. Il lui fit un sourire enfantin, ce qui allait bien avec cette espèce de pipe et la remercia gentiment.
La jeune serveuse haussa un sourcil, posa le verre et fit demi tours aussi sec, n'ayant pas trop le temps de se demander ce qu'un adulte de cet âge faisait avec un jouet comme ça.

Finalement, l'homme abattit le journal sur la table, se saisit d'un marqueur et entoura une annonce d'emploi. Et oui, on avait beau être grand magicien, ça nourrissait pas son homme. Alors, là, Amsel cherchait un petit job... duquel il serait sans doute viré au bout de deux semaines, mais bon, c'était pas très grave. Il s'adossa d'un air songeur en croisant les bras sur sa poitrine et soufflant encore une fois dans sa pipe à bulle. Il eut la mauvaise surprise de voir une bulle timide s'échapper et puis plus rien.

Ah non, ça n'allait pas ça. D'un geste rapide, il fourra sa main dans la petite sacoche qu'il portait à son flanc et tira de quoi recharger sa pipe. Ce fut à ce moment que le vent se décida de souffler sans prévenir, décollant alors les feuilles hors de leur support.

« Et mer...! »

Quelques passants attentifs purent alors voir un superbe plaquage de la part du rouquin sur les feuilles, s'écrasant de tout son long sur la table en évitant -sans doute par chance- la consommation, qui commença à dangereusement tanguer sur le côté avant de finalement se stabiliser. Aussi rapide eurent été ses réflexes, Amsel les avait payés cher : sur le côté, à terre, agonisait sa pipe à bulle et le reste de sa recharge qui se vidait maintenant lamentablement de son produit moussant sur le côté. Il eut une mine boudeuse et grommela alors :

« Et meeeer**... »

Et les yeux fixés devant lui, il vit alors une feuille de journal s'élever dans les airs tandis qu'un léger souffle balayait de nouveau la rue. Noooon, ça ne pouvait pas être à lui, hein ? Bien sûr que non !

Il regarda ses feuilles, puis celle qui volait en toute insouciance, se dirigeant vers les passants et comprit avec effrois que si, bien sûr, c'était bien sa feuille.

« Et mer** ! »

D'un geste aussi vif et gracieux qu'un pas de Tardigrade, Amsel s'étira vers la page volante et put tout au plus, la frôler du bout des doigts avant de réatterrir lourdement sur la table. Il foudroya du regard la fuyarde puis il sentit alors une sensation humide et fraîche le prendre au niveau des côtes. Il retourna la tête et vit son verre couché, se vidant de son liquide sur les feuilles restantes et sur (tant qu'à faire) sa sur-chemise blanche puis sur son sweet noir et enfin, sa peau. En un réflexe, il tenta de se relever et son genoux rencontra douloureusement le rebord, lui rappelant alors que les tables en fer, c'était lourd. Très lourd.

En un grognement qui ressemblait à peu près à un « merdmerdmerdmerd »les dents serrées, il se ré-assit promptement sur la chaise, en crispant ses doigts sur son genou et pour bien conclure le début d'après midi, une nouvelle brise passa dans la rue, emmenant de nouveau quelques feuilles au passage, sans que cette fois ci, le jeune homme réagisse. Certaines restèrent sur la table, sans doute par fidélité -nous omettrons de parler du poids du verre et du fait qu'une fois mouillées, elles adhèreraient bien à la table- tandis que les autres partaient rejoindre leurs copines, les feuilles-déjà-libres, sous l'oeil désabusé et las d'Amsel. Ce ne fut que quelques secondes plus tard que ses lèvres se décrispèrent pour gémir :

« Et meeeer**... »

On venait de la jeter dehors lorsqu’elle reçut sur la jambe une éclaboussure chocolatée.

Lily Eve avait voulu s’acheter de quoi grignoter; elle avait peu d’argent, mais elle était loin de chez elle et devrait dépenser tout ce qui lui restait pour payer l’autobus jusqu’à son appartement miteux… suite à quoi elle aurait très bien pu découvrir que le réfrigérateur, obstiné, ne lui offrait rien. Elle était donc passée rapidement au comptoir du Cass’dal avec l’espoir d’avoir assez de monnaie pour se payer un bon repas.

En avançant sur l’entrée pavée de dalles beige, elle avait vu passer dans le ciel une bulle solitaire, comme dans un petit rêve léger et heureux. Elle savait bien que depuis longtemps elle n’avait plus de ces rêves et que ce n’en était pas un, surtout lorsqu’elle sentit sur elle les regards haineux des serveurs et de quelques clients. Ses courts cheveux noirs en bataille, ses yeux bridés étrangement rougis, habillée légèrement, avec une courte jupe de jean décorée de pointes métalliques, de hautes bottes noires et un chandail noir plongeant, elle paraissait en tout point suspecte pour ces gens aisés et honnêtes prenant tranquillement leur café. Elle s’était arrêtée au bar, en sachant bien que les yeux restaient presque tous rivés sur elle, dans son dos.

Le menu était simple : quelques croissants et pâtisseries frais du jour, des sandwiches, de la soupe. Elle avait étudié les prix en se mordant la lèvre intérieure.
« C’est cher… »

L’homme au bar lui avait lancé un regard suspicieux, un regard qui en disait long, mais Alix Eve n’y avait pas porté attention. La trop mince jeune femme s’était assise sur un tabouret en s’accoudant au bar, réfléchissant au sandwich qu’elle choisirait. Elle allait demander au serveur de lui donner un croissant à la mayonnaise, au jambon et au fromage (avec un extra mayonnaise) quand elle sentit une main atterrir avec force sur sa fesse.
Furieuse, elle s’était retournée vers l’homme qui lui avait assené une claque en reconnaissant un des clients que Jimmey lui avait présentés. Elle avait serré les dents et lui avait retourné la monnaie en lui envoyant son petit poing – assez puissant, malgré ce qu’il paraît – en plein milieu de son visage stupidement souriant. L’homme avait reculé de quelques pas sous l’effet de la surprise, et le sang avait commencé à lui couler du nez; une véritable crise d’hystérie s’était déclenchée chez deux ou trois vieilles dames offusquées; le serveur au bar se mit à hurler en pointant la porte.
« Dehors! »
Lily Eve s’était brusquement retournée vers lui, colérique.
« Je n’ai…
- J’ai dit dehors! »

Ses petits poings toujours tendus par la fureur, elle avait tourné les talons et avait marché rapidement jusqu’à la sortie, mais elle n’avait pu traverser la terrasse sans incident. C’était à ce moment qu’elle avait reçu sur la jambe cette éclaboussure chocolatée qui avait coulé jusque dans sa botte, provoquant chez quelques clients dédaigneux un ricanement moqueur qui exacerba les sentiments de Lily Eve. Avant même qu’elle ne puisse réagir, elle reçut en plein visage une grande page de journal qu’elle chassa violemment.
Elle se tourna vers l’auteur de ce dégât, un jeune garçon mince, de taille moyenne, aux cheveux particulièrement éclatants. En l’observant rapidement, elle réalisa qu’il n’était pas si jeune qu’il ne le paraissait : son regard était toutefois si naïf qu’il lui faisait perdre toute impression de maturité. Avec un sentiment plutôt ironique, elle le vit étalé sur la table, une expression à la fois indifférente et découragée transformant ses traits. Il vint alors à l’idée de la jeune femme qu’il n’avait probablement même pas remarqué sa présence, et elle hésita alors à l’engueuler, parce qu’il devait être l’un des seuls en cet endroit à se foutre de ce dont elle pouvait bien avoir l’air. Cette hésitation dura un moment, car la colère était encore bien présente en elle et tendait les muscles de son bras vers le visage du vieux garçon.

Ce dernier se releva alors brusquement et un bruit sourd se fit entendre sous la table; Lily Eve pouvait presque voir les larmes de douleur monter aux yeux du rouquin, qui se rassit finalement bien tranquillement. Elle sentit la colère s’amenuiser. Non pas qu’elle avait pitié de cette personne, ni qu’elle se sentait redevante envers lui, mais seulement que la vue de cette scène un peu ridicule lui avait remonté le moral. Elle se pencha pour ramasser la feuille qui s’était posée sur son visage un instant plus tôt et où un cercle coloré indiquait une annonce dans la page des offres d’emploi. Ne pouvant se soumettre à redonner bien gentiment et poliment cette feuille à son propriétaire, elle la lui colla brutalement sur le visage avec sa petite main délicate, et lui tourna ensuite le dos.

[ HJ je tiens à rassurer l'assemblé : si je suis si "rapide" à la réponse, c'est que je suis exceptionnellement (c'est si rare) à jour et en vacances.]

Il y avait des jours où il ne valait mieux pas se lever. Pour l'heure, c'était typiquement le genre de phrase que se répétait Amsel. Ayant reposé négligemment son bras droit sur la table après un petit « floc » qui indiquait qu'il y avait de son ex-boisson à cet endroit, il avait regardé d'un air médusé les feuilles virevolter entre les passants sans que ces derniers ne décident à agir. Il posa sa tête dans sa main et eut une petite grimace en sentant l'humidité qui gagnait son coude. Mais considérant qu'il n'était plus à ça près, il ne réagit pas. De toute façon, s'il bougeait, quelque chose de forcément pire arriverait. Aujourd'hui tout particulièrement, la loi de l'emmerdement maximum semblait décidée à lui montrer toute la pertinence de ses propos.

Amsel soupira un coup et emmena ses mains vers sa sacoche pour saisir quelque chose mais fut interrompu par une feuille qui, comme un aimant par un frigo, se colla sur son visage. Vu qu'il n'avait pas fait attention à la jeune femme qui l'avait observé jusqu'à maintenant, la feuille lui obstrua assez la vu pour que son esprit fantasque se mette à se demander si la terre lui en voulait pour une quelconque raison. Non, minute... il avait sentit, à travers le fin papier du journal, une main. Ce qui voulait dire... Que Murphy lui même, inventeur de la fameuse loi du même nom, s'était incarné pour l'embêter.

Saisissant des deux mains la feuille qu'il rabattit sur la table, le rouquin finit par grommeler, avec une pointe de désespoir dans la voix :

« Mais j'ai jamais remis en cause votre existence voyons ! »

Puis finalement, il tourna rapidement la tête et aperçut, à hauteur de ses yeux, la silhouette d'une personne, une vrai personne. Et vu qu'elle avait des formes féminines, Amsel en conclut plutôt rapidement que la jeune femme ne devait avoir aucun rapport logique avec une quelconque loi. Mieux : elle devait juste avoir gentiment ramassé une feuille et lui rendait « poliment ». C'est ainsi que retrouvant un sourire de circonstance, Amsel s'empressa de reprendre :

« Ah, mer... » Puis levant les yeux, il s'aperçut que le jeune femme lui tournait le dos. « ci... »

Bah quoi, c'est qu'elle était fâchée ? Mais de quoi ? Et pourquoi ?

Amsel tenta de chercher un instant, tandis qu'il détaillait la jeune femme en passant de ses cheveux noir aux bottines, ce qu'il pouvait bien encore avoir fait pour que l'univers entier lui en veuille de cette façon. Mais il ne trouva pas de réponse. Bon, si ça l'amusait de tourner le dos aux gens, oui, pourquoi pas, chacun son truc... Reprenant sa recherche dans sa sacoche, l'homme en sortit un espèce de serpent en plastique rouge vif, mit la pointe dans sa bouche et souffla doucement dedans, faisant s'échapper une ribambelle de bulles qui allèrent joyeusement s'écraser contre la nuque de la jeune femme. On fait comme on peut pour se faire remarquer, hein...

« Vous avez... certes... un dos très joli... mais serait-il possible de vous retourner ? J'ai rien contre le fait de parler à votre dos, mais... heu, c'est étrange en fait ! » continua-t-il en tenant le serpentin entre ses doigts

Tout en parlant, Amsel balaya la jeune femme du regard et s'arrêta sur la trainé de chocolat qui glissait le long de sa jambe. Aussitôt, il ressentit un élan de sympathie pour cette malheureuse créature à qui l'univers semblait en vouloir également. Entre malchanceux chevronné, il fallait se serrer les coudes.

« Aaaah, vous non plus c'est pas votre jour ? Je sais ce que c'est, c'est jamais mon jours à moi ! Et je parle en connaissance de cause. »

Le pire sans doute était qu'il ne réfléchit pas un instant que le liquide qui dessinait un sillon sur la jambe de la demoiselle et le chocolats frappé qu'il avait renversé avait peut-être un lien. Mais plein de bonne volonté -à défaut de mieux- il rattrapa la page de journal de tout à l'heure, mordant son serpentin entre ses dents, et la plaqua sur la jambe de la demoiselle, sans penser une seconde à comment ce dernier geste pourrait être interprété.

« Woilà, en 'eux 'econdes, 'a 'era arran'é ! » s'exclama-t-il tout content tandis que d'autres petites bulles s'échappaient à chaque mots prononcés.

Oui, en deux secondes, ça serait sans doute arrangé, mais dans quel sens...

Bon, c'est moi qui m'y suis collé... Arg eurk burp !

Pour toute réclamation, voir mon avocat ^^

Evaluation de jeu
Nombre de lignes écrites (9/10)

Le nombre de lignes est amplement suffisant. Certes, on pourrait l'augmenter, mais cela ne semble pas vraiment nécessaire. Donc bon pour le décompte !


Pertinence des propos (9/10)

La "mise en bouche" du texte est agréable, passant par un petit détail - la bulle qui s'élève dans le ciel - à un contexte plus général - la fin de l'hiver - pour finalement "zoomer" en quelque sorte, pour se centraliser sur le point névralgique du texte : ce fameux café. Quelques phrases m'ont fait buter, en raison de la structure, notamment, l'emploi elliptique d'un verbe, que l'on devine (logique) mais qui n'a pas forcément la même construction que celui qui est finalement employé, comme dans la phrase : "Amsel soupira un coup et emmena ses mains vers sa sacoche pour saisir quelque chose mais fut interrompu par une feuille qui, comme un aimant par un frigo, se colla sur son visage."
L'aimant est attiré par le frigo, il ne s'est pas collé par le frigo (wahou ! quelle phrase, mes aïeux !) Cela fait en plus une faute de syntaxe


Qualité des descriptions de contexte, de lieux, de personnages (8/10)

Les descriptions me semblent très fouillées, bien mises en avant, notamment en ce qui concerne les lieux. Les sensations des personnages sont bien amenées, avec humour, ce qui pimente un peu plus le texte. Pas de surenchère de ce point de vue-là, ce qui explique la note attribuée. Les personnages ne sont pas très détaillés, on voit un mouvement plus qu’une image (je ne sais pas si je suis clair ^^) alors que les deux allant de concert formeraient la cerise sur le gâteau !

Qualité des descriptions d’actions (8/10)

Bien détaillées, les actions prennent un place importante dans ce RP, ce qui le rend vivant, mouvementé, mais parfois un peu trop. La surenchère, au sein d’une même phrase, d’actions différentes rend le tout parfois un peu trop touffu.
Par exemple, la phrase suivante : « En un grognement qui ressemblait à peu près à un « merdmerdmerdmerd »les dents serrées, il se ré-assit promptement sur la chaise, en crispant ses doigts sur son genou et pour bien conclure le début d'après midi, une nouvelle brise passa dans la rue, emmenant de nouveau quelques feuilles au passage, sans que cette fois ci, le jeune homme réagisse » aurait pue être scindée en deux. Ceci dit, ce n’est pas non plus rédhibitoire, mais la lecture pourrait ainsi être fluidifiée. Attention cependant à ne pas tomber dans la négation de ton style qui serait à en mettre le strict minimum ! (ce serait bien moche ^^)

Niveau de langue & Qualité de l’écriture (7/10)
Bon niveau de langue, retranscrivant souvent, dans les phases narratives, les pensées du personnage. On a donc plus la sensation d’un narrateur interne, ce qui est agréable, mais limite un peu la gamme de vocabulaire que l’on peut employer. Les pensées restent souvent dans un langage courant/familier ce qui risque d’enfermer le récit dans un certain cadre qui peut s’avérer peut agréable pour toi, par la suite. Beaucoup beaucoup de formulations syntaxiques familières qui alourdissent le propos. Sinon le texte est très bien écrit, nous plongeant dans la tête d’Amsel,ce qui est aussi agréable.

Erreurs de RPG
Je n’en ai repéré aucune.

Et te voilà – avec une note de 41/50 – niveau 5 : Papillon Grandiose ! Bienvenue cher petit hétérocère !

Evaluation du français
Moyenne (Nombre de mots/Nombre d’erreurs)

Une moyenne de 56.
Les erreurs, donc :
Erreurs d’accord (général : verbe/adjectif/nom) : 16
Erreur dans le mot écrit : 7
Construction de la phrase : 2
Conjugaison : 3
Erreur de virgule : 1
Choix de l’auxiliaire
Répétitions
Registre familier
Emploi de la mauvaise conjonction de subordination

Les fautes d’accord ont fait drastiquement chuter ta moyenne, ce qui est dommage, car elles peuvent être facilement évitées. Attention à éviter de créer des verbes en « re- » qui peuvent ne pas exister, et leur préférer les forme « de nouveau », plus soutenue, et permettant de varier les plaisirs. Le reste ne pose pas beaucoup de problèmes, sinon, sinon les mots à vérifier : un sweat (pour sweat-shirt, sweet, c’est sucré ^^), on parle d’une surchemise, sans le tiret, ce genre de petites choses. Mais rien d’insurmontable ^^

Qualité de l’écriture

L’écriture est bonne et les phrases s’enchaînent bien. Les connecteurs logiques sont plutôt bien employés, ce qui permet de les faire s’enchaîner de manière assez sympathique. Des petites répétitions, çà et là, un mot qui revient d’une phrase à l’autre, mais pas de manière excessive, donc ça va. Et puis le texte est plein d’humour, ce qui est toujours très agréable à lire.

Je mets la note de 42/50 pour le français, ce qui fait de vous, très chère, un niveau 5.

Et enfin, ma réponse, hourra, mes amis, hourra \o/

Déjà, mon p'titLift, oublie ton avocat, pense plutôt à te renseigner sur les chirurgiens esthétiques, car quand j'en aurait finit, ça sera pas beau à voir...

Non, bon, j'déconne ! (humour un brin pitoyable, j'avais prévenu !) Avec ma force de mollusque et ma constitution d'huitre, je peux me faire mal à moi, tout au plus... (si si, dernière en date : coupure au pouce avec mon amie la conserve !)

Bon, bah, les réactions... Non, j'ai pas grand chose à dire !

car dans l'ordre :

• Nombre de lignes : oki, bah, de toute façon, ça dépend toujours de ce qu'on a à mettre en premier message... Enfin, moi, cette note me va très bien^_^. Simple curiosité par contre... car j'me suis vraiment posée la question plusieurs fois en lisant les présentations : il faut combien de lignes pour un dix ? ^^' (ouais, c'est con, hein ? ) C'est pas que j'ai à redire sur la note, hein ! é_è c'est vraiment une question que j'me suis posée...
  
  
• Pour la pertinence des propos : ok, j'aurais mieux dû suivre mes cours de français quand j'étais p'tite...
  
  
• Descriptions : Bon, c'est plutôt une bonne surprise : je m'attendais à pire. J'ai tendance à pas assez décrire, on me le dit de temps en temps. Mais, j'vais encore travailler pour améliorer ça ! >3
  
  
• La langue : okiiii, merci, c'est bon à savoir. Je tenterais de faire attention à ça, à l'avenir (en plus de tout le restes... ha ha, j'vais jamais réussir à me souvenir de tout ça moi ^^' )
  
  
• Pour le français : j'ai tendance à penser que c'est un peu faussé, par ma faute... Je sais que j'ai bien plus lu ce message que d'autres (j'ai eut le temps ^^') et donc, j'ai plus corrigé que d'ordinaire quand je voyais certaines fautes (encore que c'est quand même pas suffisant, hu hu hu V_v).

Eeeeet... mon nv 5 me va impeccablement bien ! Si quelqu'un me veux bien en maître, je peux (enfin, pas toute suite pour ça), mais je peux aussi être élève pour mon malheureux français qui a des soucis, c'est bien ça ! J'aurais plus qu'à demander un maître à enquiquiner. En gros, j'ai les deux trucs que je voulais en venant ici...

Que demander de plus ?

Donc, en bref : merci, c'est cool -^^-

La question du nombre de lignes est assez subjective, et c'est aussi une question un peu relative à la pertinence du propos, mais surtout, il faut une bonne constance dans le nombre de lignes (donc, que le nombre de lignes soit à peu près égal au premier dans le deuxième message). Ceux qui font moins de lignes au RP de réponse (quoique dans ton cas il ne s'agisse pas d'un si gros problème) perdent des points de ce côté-là. Après, bah, c'est difficile de mettre un 10/10 quand on se dit qu'il s'agit de la note parfaite! XD

Oui, tûtafait ! ^^

Merci de la réponse, c'est juste que... que j'me demandais et ça ne coûtait rien de poser la question !

Ah, pour le longueur de mes messages... bah, ça dépend de ce que j'ai à dire... Y'a des fois où je pourrais faire des trucs vraiment long (prends toi cette réponse de 4 pages et demi open office dans la gueule !) ou d'autre très court (alors, que puis-je dire alors que mon personnage ne bouge pas, dit "hum" et reste impassible au monde qui l'entoure ?)

Enfin voilà, merci bien de la réponse en tout cas ^^